Agression gauchiste: Réaction du Café Histoire de Toulon

Le Café Histoire de Toulon tient à préciser les faits suivants :

L'agression a été réalisée avec jet de farine mais aussi deux fioles d’ammoniaque, sur un public paroissial et d'habitants du quartier, majoritairement constitué de retraités. L'agression a suscité un mouvement de panique et une femme a été hospitalisée et opérée du poignet.

L’agression revêt un caractère totalement incompréhensible et a été réalisée au cri de « action anti-impérialiste » alors que toutes les causeries sont historiques ou culturelles (ici « Napoléon III et le Mexique catholique », présentée par l'association du « Souvenir napoléonien »). Elles sont affichées régulièrement sur les panneaux lumineux de la municipalité.

Il est difficile de croire au caractère politique invoqué par l'auteur interpellé et le Café Histoire considère qu'il sagit d'un "coup de communication " organisé par la gauche extrême pour faire parler d'elle sur Toulon. Au final c'est le Café Histoire de Toulon que cette agression permet de mieux faire connaître.

Voici son texte fondateur :

« Beaucoup se souviennent sans doute de l’acquisition quasi-miraculeuse du Texas Bar, à proximité immédiate de l’église Saint-François de Paule, par l’abbé Fabrice Loiseau, en novembre 2014. Après quelques mois de travaux, un pub entièrement rénové, le Graal, ouvrait au public, solennellement béni par Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, le 10 mai 2015. Tenu par une équipe de paroissiens bénévoles, il permet à tous ceux qui le souhaitent, catholiques ou non, de partager un verre dans une ambiance agréable.

L’abbé Loiseau a également voulu qu’il soit, sur l’invitation du pape François, un moyen pour les prêtres de sortir de leur sacristie et d’aller à la rencontre de la soif de repères et de sens de nos contemporains. C’est ainsi qu’une petite équipe « Culture et patrimoine » de la paroisse, coordonnée par Philippe Lallement, a mis en place en une causerie mensuelle permettant de partager autour des racines chrétiennes de la France, dans une atmosphère conviviale.

Les modalités de la structure sont très simples. Il s’agit de présenter, à travers des conférences sérieuses mais accessibles – on préfère les appeler des causeries pour éviter toute prétention universitaire –, divers sujets centrés sur l’héritage chrétien, destinés à faire partager au plus large public possible une connaissance historique de l’identité de la France, de sa culture et de son patrimoine religieux. Un accent particulier, mais non exclusif, est mis sur la Provence pour favoriser l’enracinement de l’identité dans un territoire régional. La périodicité des interventions est fixe : on a choisi la date du dernier mercredi du mois, de 20 h à 22 h environ.

 

L’orateur, spécialiste de son sujet par ses études universitaires ou par son expérience personnelle, est invité à parler, avec clarté et pédagogie, pendant une heure face à un auditoire confortablement installé autour de quelques tables. Le but n’est pas de constituer un petit club élitiste et fermé dans lequel se retrouveraient quelques spécialistes qui se connaissent bien ; la démarche se veut ouverte à tous, mais sans compromission sur nos convictions catholiques.

Une affichette annonçant la prochaine conférence est apposée à l’entrée de l’église paroissiale et est envoyée par Internet à plus de 1000 personnes, qui peuvent elles-mêmes la répercuter dans leur entourage.

La dimension conviviale, favorisée par la chaleur du lieu, est essentielle. Il est possible, pour les adhérents du pub associatif, de commander une consommation, puis des pizzas volontiers partagées autour d’une même table. Le discours de l’orateur est suivi d’une salve de questions, plus ou moins intense selon l’intérêt que le sujet a suscité au sein du public. L’échange qui se poursuit fréquemment autour des pizzas permet aux gens de mieux se connaître et parfois de tisser des liens ».