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A NE PAS MANQUER CETTE SEMAINE ! 

31 Janvier 2023, 19:12pm

Publié par AF Provence

  
 
parlement europeen
 

Le Parlement européen attaque le Maroc

 

Charles Saint-Prot, directeur général de l’OEG
Après le vote, le 19 janvier, d’une résolution du Parlement européen critiquant la situation des journalistes au Maroc, les chambres des représentants et des conseillers ont contre-attaqué à l’occasion d’une session (...)

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guerre russie
 

Non à la guerre !

 

La guerre que mènent les États-Unis contre la Russie à travers le conflit russo-ukrainien a atteint un nouveau (...)

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REVUE DE PRESSE

L’héritage de 1793 ?

 

Deux cent trente ans après, le génocide vendéen de 1793-94 oblige à penser la singularité de la Révolution française. Ainsi que l’écrivait François Furet, qui imposa une réinterprétation totale de la décennie révolutionnaire à l’historiographie contemporaine : « La Révolution française n’est pas une transition, c’est une origine, et un fantasme d’origine » (Penser la Révolution française, 1978). En d’autres termes, ce qui distingue cette (...)

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genocide vendeen

Des livres censurés sur des critères de « sensibilité » : bienvenue dans le monde libre !

 

France Culture est toujours en pointe sur les sujets importants. Ce 23 janvier, par exemple, la radio d’État publiait un podcast ambitieux, consacré à un sujet de  (...)

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livres censures
  

AGENDA

 

Toulon

01 Février 2023

 

 

Lyon

03 Février 2023


 

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Nous n’avons pas besoin de héros, évidemment.

30 Janvier 2023, 09:04am

Publié par AF Provence

Nous n’avons pas besoin de héros, évidemment.

Vaincre ou mourir de Paul Mignot et Vincent Mottez (2022).

Nous n’avons pas besoin de héros, évidemment.

par Pierre BUILLY

L’incroyable concert de haine qui, depuis quelques jours, s’est fait entendre dans toute la presse sérieuse ne peut qu’éveiller l’intérêt de ceux qui ne sont pas tout à fait tombés dans la bien-pensance. Lorsque Libération consacre la couverture et trois de ses pages à agonir, abominer, exécuter un  film, lorsque Télérama, Médiapart, Écran large ou même l’anodin Première crachent des torrents d’insultes et paraissent considérer Vaincre ou mourir comme un avatar (en pire !) de Mein Kampf, c’est assurément qu’il y a quelque chose à voir. Conçu comme une adaptation du spectacle Le dernier panache, présenté depuis 2016 au parc d’attraction du Puy du Fou devant 12 millions de spectateurs, le film relate l’histoire folle et enthousiasmante de François-Athanase Charette de la Contrie, un des chefs les plus emblématiques de la rébellion vendéenne, un des plus fascinants.

Le film de Paul Mignot et Vincent Mottez ambitionne de réunir devant les écrans, malgré une distribution assez maigre, 100.000 personnes. Nous verrons bien s’il y parviendra et, à ce propos, la mobilisation citée plus avant de toute la presse (et de Radio-France, bien sûr, la mal nommée) lui rend sans doute un sacré service, appelant l’attention sur un film réalisé en 18 jours, sans immenses moyens, avec certaines maladresses, mais qui aurait pu s’engloutir dans l’indifférence qui touche la plupart des productions françaises.

Les critiques sur la qualité filmique, celles que j’ai lues en tout cas, insistent toute sur une prétendue médiocrité de la réalisation – que je n’ai pas tellement remarquée – mais surtout alertent l’opinion (enfin, celle qui pense, ni vous ni moi, sûrement) sur le caractère réactionnaire de l’entreprise.

Ben oui, Vaincre ou mourir est un film réactionnaire qui présente avec sympathie l’horreur des guerres de Vendée qui ont vu se perpétrer le premier génocide de l’histoire moderne (voir la lettre à la Convention du général Westermann, non citée, d’ailleurs dans le film : Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre aves ses femmes et ses enfants. [… Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. Ou se rappeler l’affreux épisode des exploits des Colonnes infernales du général Turreau , par exemple l’abomination du 28 février 1794 aux Lucs-sur-Boulogne, lorsque, pendant qu’il n’y a aucun homme dans le village (ils sont dans l’armée de Charette) on éventre le curé, on tue les vieillards à coup de baïonnette et on incendie l’église dans laquelle se sont réfugiés les femmes et les enfants. Il y aura 564 morts. À peine moins qu’Oradour-sur-Glane en 1944.

Un film réactionnaire, donc, très engagé. Voilà une sortie grave et alarmante pour Écran large; c’est vrai, c’est embêtant lorsqu’on vient contredire la légende dorée de la Révolution française, lorsqu’on présente des gens qui n’admettent pas qu’on ait exécuté leur Roi, le 21 janvier 1793, assassiné leur Reine (le 16 octobre), ambitionné de soumettre leurs prêtres et, de surcroît, prétendu lever 300.000 hommes pour livrer la guerre à l’Europe entière, pour tenter de la convertir aux fariboles rousseauistes. Donc ces braves gens s’exaspèrent, s’indignent, se lèvent, comme se lèveront en Bretagne les Chouans, en Normandie les hommes de Frotté, dans le Lyonnais les Compagnons de Jéhu et les Fédéralistes et un peu partout dans le Midi, des rebelles.

Il est extraordinaire de voir combien la multitude de films engagés de l’autre côté soit choyée, adulée, reconnue. En dernier lieu Tirailleurs d’Omar Sy, mais bien avant Indigènes ou Hors la loi (les événements de Sétif et d’octobre 1961) de Rachid Bouchareb (2006 et 2010), La marche (des Beurs) de Walid Ben Yadi (2013). Sans compter toutes les adulations des passeurs qui aident les clandestins sans-papiers à s’installer en Europe. Pourquoi pas ? Mais pourquoi reprocher à l’autre partie de l’échiquier de mener sa partie ?

Revenons au film, qui n’a pas que des qualités, malgré un souffle épique certain et de bien belles images. Disons qu’on aurait préféré que la musique soit moins tonitruante et omniprésente et que les scènes oniriques où Charette (Hugo Becker) se questionne sur sa folle aventure et sur la destinée qui l’attend soient plus intelligemment traitées. Disons aussi que les interventions d’historiens en préambule du film sont inutiles et ennuyeuses. Disons que, Charette, quoi qu’on pense de son combat, est une de ces figures lumineuses que la France a le bonheur de présenter au monde entier.

Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une Jeunesse, messieurs, sommes la jeunesse de Dieu, la jeunesse de la Fidélité. Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur.     

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Vaincre ou mourir

26 Janvier 2023, 09:00am

Publié par AF Provence

« L’action se situe en 1793, alors que Charette (Hugo Becker), ancien officier de la Marine Royale et héros de la guerre d’Indépendance américaine, revient sur ses terres vendéennes où la colère contre les républicains gronde. Le jeune officier, charismatique et fin stratège, devient rapidement le chef de toute une armée fort peu commune, mais pas moins redoutable, constituée d’habitants refusant de se plier à la terreur révolutionnaire. »

Découvrez la bande-annonce officielle de « Vaincre ou Mourir », le premier long-métrage de Puy du Fou Films !
Pour vivre sur grand écran l'incroyable épopée de Charette, rendez-vous le 25 janvier dans le cinéma le plus proche de chez vous !

https://www.ugc.fr/film.html?id=14960

Pour Napoléon Bonaparte : « Charette me laisse l’impression d’un grand caractère, je lui vois faire des choses d’une énergie, d’une audace peu communes ; il laisse percer du génie. » autre éloge « C'est un de ces hommes dont tous les Français, quelles que soient leurs opinions, ont le droit d'être fiers. » Jules Simon (1814-1896), député républicain, ministre de l’instruction publique, des cultes et des beaux-arts. Charette est entré dans l'histoire de nos héros nationaux légendaires au même titre que Vercingétorix, Jeanne d’Arc ou Honoré d’Estienne d’Orves, sa bravoure et son panache ne peuvent que forgerl’admiration, le respect et le modèle à suivre, lui qui toute sa vie est resté fidèle à son esprit chevaleresque et à sa belle devise « Combattu : souvent, battu : parfois, abattu : jamais »,

Alors qu’il allait être fusillé, l’officier militaire, un ancien Sujet du roi devenu républicain suivant l'air du temps, peut-être chagriné de devoir exécuter cette triste besogne lui fit part de son regret « tant d’héroïsme pour rien ». L’ancien officier de la Marine Royale devenu le légendaire « Roi de Vendée » répliqua avec aplomb « Monsieur, rien ne se perd jamais ! ». Une répartie juste caractéristique aussi de l'esprit français.

Le film "Vaincre ou Mourir" a le mérite d'ouvrir les pages oubliées de la Révolution française, la référence historique de notre Constitution, avec la Déclaration des Droits de l'Homme. Nos plus grands écrivains ont écrit sur cette période trouble rendant gloire aux vaincus : Victor Hugo "93", Balzac "Les Chouans", Chateaubriand...sont-ils pour autant clouer au pilori ? Pourtant en 2023, comme le démontre Libération, c'est et ce sera toujours problématique d'en parler sereinement parce que 1789 a été construite sur un mythe populaire. Il est donc inconcevable d'admettre que les Chouans et Vendéens, ces insoumis, cette armée de paysans en sabots pouvaient se dresser contre la Révolution française et qu'ils ont subi les affres de la Terreur.

Lors de Deuxième séance du 29 novembre 2016, Yannick Moreau, député Les Républicains de la 3e circonscription de la Vendée, à propos d’un texte proclamant la réhabilitation de toutes les victimes de la répression de la Commune de Paris en 1871, s’est interrogé sur la repentance à géométrie variable, évoquant les crimes commis sur les Vendéens par la République« Mes chers collègues, foi de Vendéen, quitte à faire de la repentance, pourquoi ne pas commencer par l’abrogation des lois de la Terreur contre la Vendée, et la reconnaissance de ses crimes ? Vous voulez faire de la morale ? Soit, mais alors, commencez donc par abroger les lois de la Terreur. » terminant ses propos par la lettre du général Westermann, surnommé le boucher des Vendéens, qui écrivit au Comité de salut public la chose suivante : Il n’y a plus de Vendée, citoyens républicains. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay, suivant les ordres que vous m’aviez donnés. J’ai écrasé les enfants sous les sabots des chevaux, massacré les femmes qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé.

Nicolas Chotard,

Président des Lys de France.

Trésorier de la Chouannerie du Maine.

Il est interdit de remettre en cause le "roman républicain de la Révolution française" sous peine d'être affublé du titre de réactionnaire et d'être considéré comme un "suspect" voulant réécrire l'histoire. "Vaincre ou Mourir" a aussi la "faiblesse" de ne pas tomber dans le wokisme du cinéma actuel diffusé sur les grands écrans et sur ceux de Netfix.    

https://open.spotify.com/show/7lcxzeC0jTbpU7jBDu5IyW

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Le scandale de la hausse des prix de l'électricité

25 Janvier 2023, 09:23am

Publié par AF Provence

 

Communiqué de presse de l'Action Française

 

Paris, le 23 janvier 2023

À l'attention du service politique

 

Hausse des prix de l’électricité, un scandale politique

 

Ces dernières semaines, le prix de l’électricité a augmenté de manière exponentielle pour de nombreux artisans, TPE et PME. Pour beaucoup, la situation est insoutenable et aboutira assurément à des fermetures d’entreprises et des faillites, en espérant que des drames humains ne s’ajouteront pas au drame économique vécu par ces entrepreneurs. Mais comment cette hausse si soudaine et violente a-t-elle été possible en France, pays du nucléaire par excellence ? Comme bien souvent hélas, la réponse est à rechercher de deux côtés : du côté de l’Europe et du côté de notre République et de ses gouvernements successifs.

Le scandale de la hausse des prix de l'électricité

 

 

 

Du côté de l’Europe d’abord. Tout le monde a enfin compris – du moins nous l’espérons – comment le fonctionnement du marché européen a profondément modifié la fixation des prix de l’électricité, au détriment des intérêts de la France. Alors que notre électricité était la moins chère d’Europe, grâce à la prépondérance du nucléaire (environ 2/3 de notre production totale), la commission européenne a réussi à imposer un prix de marché indexé sur le coût de production de l’énergie la plus chère. En l’occurrence, le coût de production de l’électricité par les centrales nucléaires est parmi les plus faibles en plus d’être très stable, contrairement au prix du gaz, beaucoup plus élevé et volatile, conséquence de la spéculation et de l’actualité géopolitique. A cause de ce mécanisme européen, la France rachète plus chère une électricité qu’elle fournit à bas prix au marché. Cette situation aussi scandaleuse qu’aberrante explique que les factures d’électricité des artisans explosent littéralement (jusqu’à x10 par rapport à l’an dernier). Le mécanisme est d’autant plus scandaleux qu’il n’aboutit qu’à enrichir les traders et à fragiliser davantage les industriels.

Du côté de nos politiques ensuite, et d’abord en raison de leur soumission originelle à l’Union européenne. Ils ne peuvent plus aujourd’hui que subir la loi de la commission de Bruxelles qu’ils ont accepté d’avance en ratifiant les différents traités, et ce ne sont pas les gesticulations de notre ministre de l’Économie qui y changeront grand-chose. En raison, ensuite, de l’incurie dont ils ont fait preuve dans l’entretien et le développement du parc nucléaire Français, qui aboutit cette année à une baisse de production de l’ordre de 20 % et fait craindre des coupures d’électricité, à moins que le gentil contribuable ajoute les efforts de privation aux efforts pécuniaires. En raison aussi de leur comportement dans le conflit Russo-Ukrainien, qui les oblige à se passer du gaz Russe et à renchérir son coût, et donc celui de l’ensemble des prix de l’électricité, toujours à cause du mécanisme européen. En raison enfin du zèle dont ils ont fait preuve dans l’ouverture à la concurrence du marché de l’énergie et dans le démantèlement des entreprises publiques (GDF d’abord, EDF bientôt). Ils peuvent toujours plaider pour une réforme du marché de l’électricité comme ils prétendent vouloir réformer l’Europe : les conséquences tragiques dont ils chérissent les causes sont une fois encore concrètes et dramatiques.

A l’heure où les victimes les plus visibles de ce scandale énergétique – qui est un scandale politique d’abord – annoncent une manifestation ce 23 janvier, l’Action française appelle ses membres mais aussi tous les Français à se joindre au cri de détresse de ces entreprises et de ces artisans. Elle les appelle aussi à faire de ce cri une véritable contestation de l’Union européenne, cause de ce nouveau scandale. Elle appelle enfin à une sortie de cette Union européenne qui seule permettra à notre Etat, sa souveraineté recouvrée, d’avoir la possibilité de s’occuper des enjeux de nos concitoyens sans avoir à souffrir des règles communautaires qui profitent surtout aux spéculateurs et aux élites maastrichtiennes.

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Réforme des retraites: la position de l'AF

19 Janvier 2023, 09:27am

Publié par AF Provence

Réforme des retraites: la position de l'AF

Communiqué de l'Action Française (19 janvier 2023)

 

 

Non à la loi sur l’allongement du temps de travail

 

La bataille autour de l'allongement du temps de travail nous laisse perplexe. Cette réforme est-elle vraiment nécessaire, à l’heure où les Français sont déjà accablés par la baisse du pouvoir d’achat et une crise énergétique sans précédent, qui n’est autre que le résultat calamiteux d’une politique au doigt mouillé menée par les derniers gouvernements au pouvoir depuis plus de vingt ans ? Le dernier en place en est la synthèse la plus éloquente.

 

Y avait-il urgence?

Le sentiment qui prévaut, avant même une analyse objective du contenu du projet est, en apparence, la production, fort « opportune » d’un nuage de fumée médiatico-politique visant à refaire une majorité parlementaire avec les LR.  Peu importent les conséquences et la réaction populaire.

En effet, y avait-il urgence aujourd’hui, alors que la grogne s’étend dans le pays ? On assiste peut-être à l’exécution d’une faute lourde dont l’effet pourrait bien sanctionner l’arrogance du pouvoir.

Cette réponse aux injonctions de l'UE qui met notre président en totale contradiction avec ses propos tenus en 2018, va mobiliser tous les médias, ainsi que les syndicats et les partis politiques qui veulent tous en être.

Mais le projet lui-même, défendu par les ultra-libéraux qui prétendent protéger notre vieux système de retraite, en allongeant la durée légale de la fin du travail, va rendre encore plus difficile la capacité de bénéficier du taux plein par les retraités, sachant la difficulté grandissante pour les séniors à se maintenir dans leur emploi jusqu’au bout alors même que la durée légale du travail s’arrête encore aujourd’hui à 62 ans.

 

Une privatisation voulue par Davos

Pendant ce temps à Davos la société multinationale Black Roc est au cœur de toutes les attentions pour apporter son « concours désintéressé » à la mise en œuvre d’une retraite par capitalisation qui viendrait d’abord en complément, puis en remplacement du système de répartition.

Il ne fait aucun doute qu’une telle réforme, vue de Bruxelles, vise à une privatisation rampante du système de retraite et un alignement de la France sur la pratique libérale de ses pays voisins si géniaux.

On envisage rarement d’imputer la baisse des cotisations, à la chute de notre dynamisme industriel, et encore moins à la dénatalité, laquelle comme chacun sait est censée être corrigée par l’immigration massive qui enchante tant nos compatriotes.

Le débat ne peut être serein, dans la mesure où, par la voix d’Aurore Berger, le pouvoir nous explique que c’est inéluctable et qu’il ne reculera pas. Alors que ce même pouvoir multiplie le débat citoyen pour tous et partout. S’agissant d’un sujet aussi sensible, il a bâclé le dialogue avec les syndicats et l’ensemble des branches professionnelles. Comment pourrait-il empêcher un désordre qu’il a lui-même suscité. ?

 

Des économies sur le dos des pauvres

Après le quoi qu’il en coûte délirant de la pandémie, il convient de faire des économies alors qu’au même moment les augmentations de versement des dividendes des entreprises du Cac 40 explosent littéralement.

Les riches s’enrichissent tandis que les pauvres s’appauvrissent, et que les classes moyennes disparaissent.

La réforme proposée ne  sert pas à sauver  les retraites, mais plutôt à financer une baisse des indemnités.

Il se pourrait que ce mouvement protestataire soit l’effet d’une accumulation de griefs du peuple qui encaisse jusqu’à maintenant sans trop réagir, mais qui pourrait bien se réveiller à cette occasion. La police aussi a prévu de manifester ainsi que l’ensemble des services publics à l’abandon.

L’Action Française, dans ces conditions refuse de cautionner cette loi qui ne vise pas à plus de justice, mais à contenter une idéologie de la finance que nous abhorrons.

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La messe pour Louis XVI le 21 janvier à Marseille

16 Janvier 2023, 16:25pm

Publié par AF Provence

La messe pour Louis XVI le 21 janvier à Marseille
 
La messe à la mémoire de Louis XVI et des victimes de la Révolution aura lieu à Marseille samedi 21 janvier 2023 à 11h, en la basilique du Sacré-Cœur, avenue du Prado.
 
 Messe de Requiem avec Trompette et Orgue.
 

La cérémonie sera présidée par le Père Olivier SALMERON. 

Après la cérémonie, un moment de rencontre et d’échange est prévu.

 

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Le bien commun vient de sortir

11 Janvier 2023, 15:22pm

Publié par AF Provence

 
LBC 47
 
 

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Le Bien commun

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Les voeux aux Français de Monseigneur le Comte de Paris

9 Janvier 2023, 11:48am

Publié par AF Provence

Les voeux aux Français de Monseigneur le Comte de Paris
Les voeux aux Français de Monseigneur le Comte de Paris

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