Cérémonie du souvenir à Toulon
Le Café Histoire de Toulon vous invite à vous joindre à la cérémonie du souvenir aux 800 Toulonnais massacrés au canon par les républicains en décembre 1793.
Bienvenue sur le blog des royalistes de Provence, défenseurs de l'identité provençale et française, et militants de la cause monarchiste.
Le Café Histoire de Toulon vous invite à vous joindre à la cérémonie du souvenir aux 800 Toulonnais massacrés au canon par les républicains en décembre 1793.
Tout le monde a compris aujourd’hui, nous l’avons déjà dit, que Gaspard Proust est un humouriste mais aussi davantage qu’un humoriste. Il rédige ses textes avec style. Il fustige les ridicules et les dérives du temps, comme jadis nos moralistes et nos faiseurs de comédies. Le texte qui suit est tout bonnement magnifique. Son sujet est l’amour de la France.
« Ce qui m’intéresse, ce n’est pas le mode d’organisation de votre démocratie mais ce qui fait que la France est la France »
Gaspard Proust n’est pas français, il explique ici pourquoi.
» Vous n’avez jamais demandé la nationalité française ?
Non. En 1990, j’étais au lycée français d’Alger. J’étais un petit Slovène, un ex-petit Yougo. A cette époque, je regardais la France, admiratif, me disant que, si un jour j’avais le passeport français, je pourrais dire à mes enfants : « Voyez, maintenant vous faites partie d’une nation immense où vos ancêtres – même si vous avez chopé le train en route – s’appellent désormais Charlemagne, Louis XIV, Napoléon, De Gaulle; vos écrivains, Hugo, Molière, Baudelaire, Camus, Zola, Pascal, La Fontaine; vos artistes, Sisley, Monet, Rodin, David, Poussin, Pissaro, Le Nôtre. Quand vous visiterez Orsay, le Louvre, Versailles, la cathédrale de Strasbourg… Quand vous visiterez les grottes de Lascaux, les gorges de l’Ardèche, les vignobles de Bourgogne, où une parcelle minuscule a la gloire d’exhiber au monde son cru comme on exhibe le Graal… Quand vous verrez au-dessus de Chamonix s’élever les flèches de granit ou contemplerez l’aube qui monte au-dessus de la baie du Mont Saint-Michel… Eh bien, vous aurez cette chance incroyable, invraisemblable, folle de pouvoir murmurer intérieurement : « Cela, c’est mon pays ! » »
La France, ce n’est pas seulement une vague idée fumant au-dessus de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, c’est une réalité brute, c’est une terre, un peuple, une culture; bref, un monde. Avec sa musique, sa respiration. Tourmentée, diverse, fabuleuse.
Aujourd’hui, je connais peu de personnes venant des pays de l’Est – et je ne parle même pas des amis suisses – qui voudraient du passeport français. Car un pays qui se méprise à ce point-là, qui s’incline devant tout n’est plus attirant. Qu’est-ce qu’être français ? Sincèrement, moi, je ne sais plus. Si on me donnait le passeport demain, je ne sais pas très bien dans quelle communauté nouvelle j’entrerais. On va dire : « La France, c’est la laïcité ! » Mais l’organisation d’un culte, ce n’est pas une valeur, ça ne fait rêver personne ! De la même manière, je vois du matin au soir les hommes politiques sautiller sur leurs chaises en éructant : « La République ! La République ! La République ! » Mais, des républiques, il y en a plein dans le monde. Ce qui m’intéresse, ce n’est pas le mode d’organisation de votre démocratie mais ce qui fait que la France est la France et non pas la Slovénie, l’Allemagne, l’Algérie ou la Corée du Sud !
La réalité, c’est que la France – même si certains le vivent très mal – est devenue un pays multiculturaliste, alors quel intérêt du coup de devenir français, si, de toute façon, on me fait l’éloge de pouvoir tout le temps la ramener avec mes origines ? J’ai même changé mon prénom et mon nom, car je ne voulais qu’on me renvoie d’où je viens. Je veux me fondre parmi les Français. Or ce n’est plus audible aujourd’hui.
Du coup, j’aime mieux rester à l’écart et vous regarder faire. Même si j’aime profondément ce pays, je préfère que mon rapport à la France se limite aux impôts et aux choses de l’ordre du travail. Et on reste bons amis. Alors que, paradoxalement, il n’y a sans doute pas plus français que moi. » ■
Notre pays est menacé de toute part.
Au-delà de nos frontières, notre soutien à l’Ukraine, non seulement fragilise notre économie, mais nous expose à une guerre qui ne nous concerne pas et à laquelle nous ne sommes pas préparés. Sur notre propre sol, l’afflux toujours massif de personnes immigrées, que l’État renonce à assimiler, ainsi que la suppression systématique des acquis sociaux, sous une Macronie et une cinquième République dont l’illégitimité n’a jamais été si criante, divisent le peuple et attisent les tensions. Enfin, les idéologies progressistes qui déconstruisent notre culture assèchent la source spirituelle où nous pourrions puiser la force de résister.
L’objectif de ce colloque, fidèle à notre tradition d’Action française, toujours en première ligne intellectuelle et physique, sera donc de prendre la mesure du péril, et d’organiser la restauration de notre nation.
L’heure n’est plus simplement à la révolte du pays réel contre le pays légal, mais au sursaut du pays vivant contre le pays létal.
par François Marcilhac, Directeur politique de l’Action française
Dialogue animé par Roch de Cauvigny, avec Anne-Laure Bonnel, reporter et documentariste, et Laurent Henninger, historien
Le gouvernement français a choisi de condamner l’offensive russe en Ukraine, et de soutenir matériellement le régime de Zelensky. Cette prise de position s’inscrit-elle dans la défense française du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, ou révèle-t-elle la soumission aveugle de la France aux intérêts américains ? Pour décider du bien-fondé de cette position, il importe d’établir clairement les origines de ce conflit, et d’en mesurer la portée.
Entretien avec Jean Messiha, Président de l’institut Vivre Français
La France connaît depuis plusieurs décennies une immigration massive et hétérogène : différents pays, différentes cultures, différentes religions, différents niveaux d’éducation et, sans doute, différentes conceptions de l’intégration dans une patrie de destination. On connaît les échecs de cinquante ans de prétendues politiques d’intégration, et les dangers de la société multiculturelle. À quelles conditions l’assimilation des immigrés est-elle encore possible ?
Entretien avec Bernard Lugan, historien africaniste
Bien que tous les regards soient aujourd’hui tournés vers la Russie et l’Ukraine, l’Afrique reste un continent particulièrement instable, dont l’évolution sera déterminante pour notre avenir. Quelles seront pour la France les conséquences des crises africaines, notamment celles de nos anciennes colonies, et comment pourrait-on y répondre ?
Dialogue animé par Philippe Mesnard, avec Jean-Frédéric Poisson, président de VIA, la Voie du Peuple, et Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote
L’Éducation nationale apparaît de plus en plus comme une garderie uniquement chargée de libérer les travailleurs de leurs devoirs de parents et de conformer les futurs citoyens à leurs devoirs d’obéissance satisfaite à l’État. Mais l’éducation, n’est-ce pas aussi et d’abord définir le pays où l’on vit, définir son identité, apprendre son histoire, connaître sa culture, considérer le rôle qu’il a joué et joue sur la scène internationale ? Prolongement de cette éducation qui n’est plus qu’une adaptation des individus aux nécessités de la société marchande, la désinformation constante des citoyens, abreuvé de narratifs, gavés d’éléments de langage, soumis à un endoctrinement médiatique constant et orienté, comme en témoigne la question de l’euthanasie. Peut-on encore, en France, éduquer et s’informer ?
Par Hilaire de Crémiers, Président d’honneur de la Restauration nationale
Le 22 février 1403 naissait à Paris le futur roi Charles VII. Monarque méconnu, dans l’ombre de l’épopée johannique, il a pourtant marqué l’histoire en délivrant la France du joug anglais.
Quand Charles VI meurt en 1422, le traité de Troyes signé deux ans auparavant déshérite le Dauphin pour offrir la couronne à Henri VI d’Angleterre. Mais Charles ne s’est jamais avoué vaincu. Il se proclame roi à Bourges et dirige les opérations menées par les Armagnacs qui visent à lui offrir ses pleins droits. Mais sa situation change réellement grâce à l’intervention de Jeanne d’Arc qui réussit à le faire couronner à Reims en 1429.
Le règne de Charles VII le Victorieux dure près de quarante ans. Il mettra tout son règne au service de l’indépendance de la France, mettant fin à la guerre de Cent ans en 1453. A sa mort en 1461, Louis XI hérite d’un royaume en paix à l’économie redressée. ■
Le 22 février 2023.
Vaincre ou mourir de Paul Mignot et Vincent Mottez (2022).
Nous n’avons pas besoin de héros, évidemment.
par Pierre BUILLY
L’incroyable concert de haine qui, depuis quelques jours, s’est fait entendre dans toute la presse sérieuse ne peut qu’éveiller l’intérêt de ceux qui ne sont pas tout à fait tombés dans la bien-pensance. Lorsque Libération consacre la couverture et trois de ses pages à agonir, abominer, exécuter un film, lorsque Télérama, Médiapart, Écran large ou même l’anodin Première crachent des torrents d’insultes et paraissent considérer Vaincre ou mourir comme un avatar (en pire !) de Mein Kampf, c’est assurément qu’il y a quelque chose à voir. Conçu comme une adaptation du spectacle Le dernier panache, présenté depuis 2016 au parc d’attraction du Puy du Fou devant 12 millions de spectateurs, le film relate l’histoire folle et enthousiasmante de François-Athanase Charette de la Contrie, un des chefs les plus emblématiques de la rébellion vendéenne, un des plus fascinants.
Le film de Paul Mignot et Vincent Mottez ambitionne de réunir devant les écrans, malgré une distribution assez maigre, 100.000 personnes. Nous verrons bien s’il y parviendra et, à ce propos, la mobilisation citée plus avant de toute la presse (et de Radio-France, bien sûr, la mal nommée) lui rend sans doute un sacré service, appelant l’attention sur un film réalisé en 18 jours, sans immenses moyens, avec certaines maladresses, mais qui aurait pu s’engloutir dans l’indifférence qui touche la plupart des productions françaises.
Les critiques sur la qualité filmique, celles que j’ai lues en tout cas, insistent toute sur une prétendue médiocrité de la réalisation – que je n’ai pas tellement remarquée – mais surtout alertent l’opinion (enfin, celle qui pense, ni vous ni moi, sûrement) sur le caractère réactionnaire de l’entreprise.
Ben oui, Vaincre ou mourir est un film réactionnaire qui présente avec sympathie l’horreur des guerres de Vendée qui ont vu se perpétrer le premier génocide de l’histoire moderne (voir la lettre à la Convention du général Westermann, non citée, d’ailleurs dans le film : Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre aves ses femmes et ses enfants. [… Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. Ou se rappeler l’affreux épisode des exploits des Colonnes infernales du général Turreau , par exemple l’abomination du 28 février 1794 aux Lucs-sur-Boulogne, lorsque, pendant qu’il n’y a aucun homme dans le village (ils sont dans l’armée de Charette) on éventre le curé, on tue les vieillards à coup de baïonnette et on incendie l’église dans laquelle se sont réfugiés les femmes et les enfants. Il y aura 564 morts. À peine moins qu’Oradour-sur-Glane en 1944.
Un film réactionnaire, donc, très engagé. Voilà une sortie grave et alarmante pour Écran large; c’est vrai, c’est embêtant lorsqu’on vient contredire la légende dorée de la Révolution française, lorsqu’on présente des gens qui n’admettent pas qu’on ait exécuté leur Roi, le 21 janvier 1793, assassiné leur Reine (le 16 octobre), ambitionné de soumettre leurs prêtres et, de surcroît, prétendu lever 300.000 hommes pour livrer la guerre à l’Europe entière, pour tenter de la convertir aux fariboles rousseauistes. Donc ces braves gens s’exaspèrent, s’indignent, se lèvent, comme se lèveront en Bretagne les Chouans, en Normandie les hommes de Frotté, dans le Lyonnais les Compagnons de Jéhu et les Fédéralistes et un peu partout dans le Midi, des rebelles.
Il est extraordinaire de voir combien la multitude de films engagés de l’autre côté soit choyée, adulée, reconnue. En dernier lieu Tirailleurs d’Omar Sy, mais bien avant Indigènes ou Hors la loi (les événements de Sétif et d’octobre 1961) de Rachid Bouchareb (2006 et 2010), La marche (des Beurs) de Walid Ben Yadi (2013). Sans compter toutes les adulations des passeurs qui aident les clandestins sans-papiers à s’installer en Europe. Pourquoi pas ? Mais pourquoi reprocher à l’autre partie de l’échiquier de mener sa partie ?
Revenons au film, qui n’a pas que des qualités, malgré un souffle épique certain et de bien belles images. Disons qu’on aurait préféré que la musique soit moins tonitruante et omniprésente et que les scènes oniriques où Charette (Hugo Becker) se questionne sur sa folle aventure et sur la destinée qui l’attend soient plus intelligemment traitées. Disons aussi que les interventions d’historiens en préambule du film sont inutiles et ennuyeuses. Disons que, Charette, quoi qu’on pense de son combat, est une de ces figures lumineuses que la France a le bonheur de présenter au monde entier.
Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une Jeunesse, messieurs, sommes la jeunesse de Dieu, la jeunesse de la Fidélité. Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur. ■
La cérémonie sera présidée par le Père Olivier SALMERON.
Après la cérémonie, un moment de rencontre et d’échange est prévu.
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Il semble que les militants politiques, et particulièrement les communistes après la Révolution de 1917, ont inauguré la fâcheuse habitude de donner les noms de « héros » étrangers aux rues des communes qu’ils avaient conquises aux élections municipales. Nous avons tous emprunté dans les banlieue rouges l’avenue Lénine, Trotski ou Karl Marx. À leurs yeux, sans doute, ces personnages étaient des bienfaiteurs de l’humanité, et dignes à ce titre de figurer à côté des Bayard, Du Guesclin, Lyautey, Jaurès ou De Gaulle. La droite revenue dans certaines de ces villes s’empressa de débaptiser la plupart de ces artères pour leur donner des noms s’inscrivant davantage dans le patrimoine historique de notre patrie.
À l’heure où la France est plongée dans une crise d’identité, où sa souveraineté dans le concert des nations est de plus en plus contestée, le temps est peut-être venu de valoriser ceux qui ont contribué à sa longue construction, donnant à ce pays son caractère unique. Les Français ont besoin de se rappeler qui ils sont, d’où ils viennent et qui sont ceux qui les ont précédés sur cette portion de terre si belle et si unique.
Ainsi, une rue de Stains, en Île-de-France, a été rebaptisée au nom d’une des femmes de Mahomet. Comment comprendre ce message quand on est Français, de souche ou d’adoption, catholique ou non, musulman bien intégré ? Que « les enseignements et les valeurs » de la femme d’un conquérant musulman du VIIe siècle sont censés inspirer les habitants de Stains, comme le précise le panneau ? Peut-être que le premier magistrat de la ville, Azzédine Taïbi, n’a pas bien compris que sa commune était française et que la rue de Pontoise n’a aucune vocation à devenir rue Khadija Bint Khuwaylid.
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Malgré la récurrence du terme dans le débat public, l’aménagement du territoire est un legs gaulliste qui gît abandonné dans les placards des ministères. Au commencement était le livre du géographe Jean-François Gravier (1915- 2005), Paris et le désert français, publié en 1947. Dans cette étude, ce spécialiste de la géographie industrielle, formé à l’école novatrice des penseurs non-conformistes des années 1930, proche de l’économiste François Perroux (1903- 1987), faisait déjà le constat d’une région parisienne hypertrophiée à l’échelle nationale.
Ce livre s’est incarné politiquement, aux lendemains de sa réédition en 1958, avec la fondation de la DATAR, institution confiée en 1963 par le général de Gaulle au baron Olivier Guichard qui passera ensuite le relais à Jérôme Monod devenu en 1975 le directeur de cabinet de Jacques Chirac à Matignon. En lecteur attentif de Jean-François Gravier, le fondateur de la Ve République pensait que le fondement de l’aménagement du territoire était le maintien et le développement d’un tissu industriel réparti sur l’ensemble de la superficie hexagonale.
Le déclin de la DATAR sonna à l’heure du giscardisme triomphant, pour qui l’innovation technologique primait trop souvent sur la dimension sociale propre à l’industrie française. L’aménagement du territoire ne s’en est jamais vraiment remis. Le président François Hollande lui porta le coup de grâce lors de son quinquennat en le fusionnant avec la politique de la ville, ce qui n’a évidemment rien à voir. En matière d’aménagement du territoire, il s’agit avant tout de créer ou de perpétuer des emplois privés, de favoriser la croissance des entreprises industrielles. En 2014, la DATAR – qui n’était déjà plus que l’ombre d’elle même fut donc purement et simplement supprimée.
Il devient urgent de revenir à l’essence de l’aménagement du territoire, c’est-à-dire à la réindustrialisation du pays. Le président Nicolas Sarkozy, en nommant en 2009 des Commissaires à la réindustrialisation par exemple, avait compris l’intérêt de la chose. Sa défaite électorale à l’élection présidentielle de 2012 a sonné le glas de cette ébauche de stratégie. Elle demeure depuis fantomatique faute d’une réelle ambition politique de nos dirigeants pour notre pays. L’« Axe Seine », qui court du Havre à Paris, ne bénéficie par exemple pas assez d’une attention de l’État. La Vendée, terre de création d’entreprises et d’emplois, reste mal desservie sur le plan autoroutier et ferroviaire. Les bassins industriels de l’Aveyron continuent de sombrer économiquement. On pourrait ainsi multiplier les exemples.
On ne peut se résoudre à laisser subsister des poches de misère humaine et sociale dans nos territoires périphériques, au cœur des provinces françaises. Renouer avec l’aménagement du territoire est essentiel pour beaucoup de régions métropolitaines ou ultramarines : transports structurants, implantations d’entreprises, interactions avec les ressources naturelles et les productions existantes. Cet aménagement doit être durable, adapté aux défis environnementaux et pour cela être pensé sur le temps long. Le temps long, au sens que lui donnait l’historien de l’économie du bassin méditerranéen et de l’identité de la France, Fernand Braudel, est la condition essentielle de la prospérité. Il se heurte bien souvent aux impératifs du calendrier électoral. Durant la campagne présidentielle qui s’ouvre, il faudra être attentif aux propositions des candidats dans ce domaine.
Jean, comte de Paris
Billet publié hier (9.03.2022) sur le blog de l’Action Française
David Nivière
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