Manifestations: attention aux confusions
Comme les manifestations se multiplient en Ukraine comme en France, il est parfois difficile au public comme aux journalistes de se retrouver. Mais voici une fiche en deux parties qui est bien pratique.
Bienvenue sur le blog des royalistes de Provence, défenseurs de l'identité provençale et française, et militants de la cause monarchiste.
Comme les manifestations se multiplient en Ukraine comme en France, il est parfois difficile au public comme aux journalistes de se retrouver. Mais voici une fiche en deux parties qui est bien pratique.
"La crise des principes de notre civilisation"
est le thème du prochain
Café Actualité d'Aix-en-Provence
qui aura lieu
mardi 4 février
avec
Jean-François MATTÉI
de L'Institut Universitaire de France
Philosophe et écrivain
Communiqué officiel de l'Action Française:
Tandis que le président « normal » affiche ses démêlées « crypto conjugales » sur toutes les chaines et toutes les ondes, Valls lâche ses flics sur les Français qui manifestent leur colère et leur accablement devant tant de mensonges, tant d’abus de pouvoir et tant de haine contre la France.
La manifestation s’étant déroulée de la Bastille aux Invalides sans le moindre incident, si ce n’est quelques provocations habituelles de la part des « femens » hystériques et autres « antifas » appointés par le ministère de l’intérieur, il fallait bien que le premier flic de France fasse du bilan. Ce gouvernement en effet ne supporte pas la contestation et il ne faut pas désespérer, non plus Billancourt, ça c’était avant le changement, mais le Marais…
Une fois que l’ordre de dispersion a été annoncé, les forces du désordre ont attendu sept minutes seulement pour verrouiller la place et charger les retardataires pris dans la nasse.
Résultat, 160 jeunes dont 15 de nos militants, parmi lesquels une jeune fille de 18 ans, ainsi que des journalistes indépendants, sans doute des témoins gênants, ont été raflés sans ménagements.
L’imposture républicaine, sans nous surprendre, étale ainsi au grand jour sa duplicité perverse. Les Français sont là pour payer, subir les idéologies babéliennes les plus tordues et surtout fermer leur gueule qu’en bonnes victimes de la démocratie ils n’auraient jamais dû ouvrir.
Les temps de résistance dure et acharnée sont arrivés et bien sûr l’Action française entend y prendre la plus belle part.
Nous appelons à la solidarité avec la jeunesse de France, qui est l’avenir et l’honneur de notre nation.
Nos avocats sont à la tâche pour aider ceux qui pourraient être poursuivis et nous appelons les patriotes , convaincus qu’il faut faire d’urgence cesser l’arbitraire de l’état policier, à envoyer leurs dons pour soutenir les nouvelles victimes du régime.
Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française
Au Carrefour royal, l'intervention de
Deux jeunes étudiants d’Action Française et un membre du comité directeur répondent à cette question et expriment la raison d’espérer en une Relève.
A la fin de la messe à la mémoire de Louis XVI et des victimes de la Révolution, le 21 janvier 2014 à Marseille, il a été fait lecture du "meurtre du roi-prêtre", extrait de "l'homme révolté" d'Albert Camus.
Les royalistes marseillais et aixois se sont retrouvés mardi 21 janvier dans le même souvenir de Louis XVI.
Ils étaient nombreux dans la basilique du Sacré-Cœur.
La cérémonie, présidée par Mgr Jean-Pierre ELLUL, fut très belle et émouvante.
Une nouveauté cette année a été la lecture, à la place du testament de Louis XVI, d'un texte d'Albert CAMUS, tiré de "L'homme révolté": "Le meurtre du roi-prêtre".
A la sortie, les militants de l'AF-Provence proposèrent exemplaires de "L'Action Française 2000" et tracts sur le colloque royaliste du 8 février prochain. Après la commémoration, l'activité politique repart!
Que peut nous apprendre le souvenir de la mort de Louis XVI ? À trouver le supplément d’âme dont nous manquons tant.
(texte écrit par l'avocat François TEUSCH et publié sur le site boulevard Voltaire)
Commémorer la mort de Louis XVI, en 2014, a-t-il encore un sens ? Le 21 janvier 1793, la tête du dernier roi « d’avant » tombait sous le couteau de Sanson et les hurlements de la foule.
La crise sociale dans laquelle notre pays ne cesse de s’enfoncer, et qui nous semble une interminable descente aux enfers depuis quarante ans, le drame du chômage de masse, la déstructuration de la société sous les coups de boutoir d’un libéralisme parvenu au terme de sa logique, tout cela peut laisser dubitatif sur la nécessité d’une célébration au petit goût de nostalgie. Et pourtant…
Se souvenir de la mort de Louis XVI est – pour reprendre une expression à la mode — accomplir un devoir de mémoire envers un souverain dont la parodie de procès et la mort sont une tache sur notre histoire. Assassiner un père de famille de 38 ans pour ce qu’il est constitue un crime d’État. Comme l’a parfaitement exprimé Robespierre : « Vous n’avez point une sentence à rendre pour ou contre un homme, mais une mesure de salut public à prendre, un acte de providence nationale à exercer… Louis doit mourir, parce qu’il faut que la patrie vive… » La mort de Louis XVI est le ciment fondateur du nouveau régime.
Jamais la République n’a renié cet événement. Les rues ou places portant le nom de Louis XVI sont quasi inexistantes. La condamnation et l’exécution restent un tabou. Et leur évocation expose à l’accusation d’antirépublicanisme, qui excommunie de facto son auteur.
En coupant la tête du roi, la Convention a coupé la France en deux. Elle a provoqué une blessure qui, durant tout le XIXe siècle, a gangrené le débat public. Il a fallu la guerre de 1914 — autre drame fondateur — pour amorcer un début d’apaisement. Mais la décollation de 1793 marque, à l’instar d’autres moments dramatiques de notre histoire, notre inconscient collectif.
Se souvenir n’est pas un acte militant ; c’est regarder notre histoire en face, distinguer la France, réalité charnelle et quinze fois centenaire, de ses institutions du moment ; c’est tenter de réconcilier les Français et leur histoire ; c’est leur rappeler que la monarchie a construit notre nation. Il est temps pour la France de faire la paix avec son passé !
Commémorer la mort du roi, c’est aussi rendre hommage à la grandeur d’âme de l’homme qui meurt en pardonnant à ses bourreaux. Le testament de Louis XVI est un témoignage exceptionnel de la haute conscience du personnage. Roi décrié, dont les erreurs politiques ont dissimulé d’indéniables succès, homme bon et vertueux, Louis XVI est mort en chrétien.
À ceux qui, par aveuglement, par ignorance ou par idéologie, détournent le regard de ce drame historique, proposons une courte lecture : "Les Condamnés – Jésus Jeanne et Louis" d’Yves Meaudre. Une hymne à l’espérance et au courage, bien loin des infidélités de notre monarque actuel.
Que peut nous apprendre le souvenir de la mort de Louis XVI ? À trouver le supplément d’âme dont nous manquons tant.
avec des invités prestigieux
Maison des Mines, 270 rue St-Jacques – Paris (RER : Port-Royal)
14 h : Ouverture des portes
14 h 30 – 15 h 30 : Table ronde « La souveraineté, l’Europe, la Nation » A l’heure où des cités-États émergent dans le monde entier et où la mondialisation semble consacrer l’avènement d’un capitalisme maitrisant tous les champs de la vie sociale, quelle est la validité du concept de Nation : permet-il de penser une action politique spécifique ? Les nations existent-elles encore ? Et quelle est/serait la nation France ?
Animateur : Elie HATEM, avocat et journaliste
Aymeric CHAUPRADE, écrivain, politologue et géopoliticien. Partisan d’une approche réaliste en géopolitique, souverainiste, Aymeric Chauprade défend l’idée d’une identité française et de la nécessité d’un bien commun supérieur aux individus.
Roland DUMAS, avocat, ancien ministre des affaires étrangères et ancien président du Conseil Constitutionnel. En tant que diplomate, Roland Dumas porte un regard libre et averti sur la politique étrangère de la France depuis 30 ans.
Jean-Claude MARTINEZ, universitaire et ancien député français. Ancien professeur de droit et de science politique à Paris II, spécialiste des finances publiques et de la fiscalité, il réfléchit sur la mondialisation et le capitalisme.
Paul-Marie COUTEAUX, écrivain, essayiste et député européen. Fondateur et président du parti Souveraineté, indépendance et libertés (SIEL), il est souverainiste et adepte d’un retour à un état centralisateur.
15 h 30 – 16 h 00 : Pause et Galette des Rois
16 h 00 – 17 h 00 : Table ronde « La France et ses peuples » A l’heure où le concept de "peuple" est plus mobile que jamais (droit du sol, droit du sang, majorité politique, droit de vote des étrangers…), peut-on définir un peuple ou des peuples de France ? Quelle serait leur stabilité démographique et juridique ? Et quel rôle doit jouer la France vis-à-vis de ses peuples ?
Animateur : Philippe MESNARD, journaliste
Camel BECHIKH, président de Fils de France. Français musulman, membre de l’UOIF, il a créé Fils de France pour défendre un islam français et patriote dans un souci d’unité nationale.
Jean-François MATTEI, universitaire et philosophe, spécialisé dans l’étude de l’évolution française vue par le prisme européen.
E. MARSALA, universitaire et écrivain, est professeur agrégé de droit constitutionnel à Paris V. Ses travaux portent sur le droit de l’Etat, l’histoire des idées, les notions de progrès et d’utopie.
17 h 00 – 17 h 30 : Pause & galette des Rois
17 h 30 – 18 h 30 : Réunion publique d’Action Française L’identité française est d’abord un projet. Un projet qui se confronte sans cesse aux évolutions géopolitiques et aux représentations que les habitants du territoire français se font d’eux-mêmes, de leurs pays et de la société. La question n’est pas vaine puisqu’elle est un levier politique majeur dans la redéfinition du rôle de la nation et la redéfinition du peuple, garant de la légitimité du pouvoir.
Présentateur : François MARCILHAC, directeur éditorial de l’Action française
Maître Jacques TREMOLET de VILLERS, avocat, écrivain et journaliste
Elie HATEM, avocat et journaliste
Eric LETTY, journaliste
Philippe MESNARD, journaliste
Charles de MEYER, blogueur
Conclusion : Olivier PERCEVAL, secrétaire-général de l’Action Française
7 € au tarif normal et 3 € pour les étudiants et lycéens
20h : BANQUET D’AF EN PLEIN CŒUR DE PARIS
25€ au tarif normal et 20€ pour les étudiants et lycéens
Reservation obligatoire : 06 88 97 00 40
communication@actionfrancaise.net, A l’ordre du CRAF, à adresser au CRAF, 10 rue Croix des Petits Champs, 75001 paris
DIMANCHE 19 JANVIER 2014 : HOMMAGE À LOUIS XVI, 18H45 précises.
A l’heure où la république finissante et ses serviteurs abandonnent par pans entiers les intérêts de la France à la fortune anonyme et vagabonde, l’Action Française invite tous les Français à venir témoigner de leur fidélité au roi, victime d’avoir trop aimé son peuple : Rendez-vous devant l’Eglise de la Madeleine à 18H45 précises. (M° Madeleine)
Le cortège se dirigera jusqu’au Square Louis XVI, devant la Chapelle Expiatoire. Des fanions, des flambeaux et les chants seront distribués avant le départ. Une gerbe de fleurs sera déposée au nom du peuple français.
Centre royaliste d’Action française, 10 rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
communication@actionfrancaise.net
C'est officiel,
le prince Jean de France sera à LYON,
mardi soir prochain pour la traditionnelle messe du 21 janvier
et la galette des rois des sections du CRAF et de la RN qui suivra...
La messe aura lieu à 19h00, en l'église Saint-Denis de la Croix-Rousse.
A MARSEILLE, deux messes:
- 18h30, Eglise Saint Pie X, 44, rue Tapis Vert (1er),
suivie d'une conférence de M. l'abbé TOULZA
- 19h, Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado, 8ème.
Messe célébrée par Monseigneur Jean-Pierre ELLUL, à la demande de la Fédération Royaliste provençale et du Cercle Bourbonien.
Christophe GUIDA à l'orgue et Laurent FRIS à la trompette.
A la fin de la messe, lecture sera faite du texte d'Albert Camus "Le meurtre du roi prêtre..."