Regard de royalistes sur l'économie le 22 février à Aix

Nous vous convions à un 

après-midi de réflexion sur l’économie au sein de la pensée royaliste, 

samedi 22 février à 14h à Aix-en-Provence aux Salons d’Olivary (10 rue du 4 septembre – AIX).

PAF : 7€ - étudiants 3€

Le programme sera composé de 3 conférences et d’une table ronde dont voici les présentations détaillées :

Critique du libéralisme, la financiarisation de l’économie.

Antoine de CRÉMIERS, Analyste politique 

Nous vivons la financiarisation de l’économie. La sphère économique s’est autonomisée et a absorbé les sphères politiques et sociales, par les services marchands. La croissance financière est devenue le but de l’économie. Or, la logique financière fonctionne sur le court terme alors que le temps de l’économie est à moyen et long terme pour le bon développement des activités. C’est la fin des métiers. La globalisation a mené à la désindustrialisation et à la tertiarisation de notre économie. 

Luttes sociales en 2024. Propositions royalistes.

Jean-Philippe CHAUVIN, Professeur d’Histoire 

Les difficultés économiques alimentent le malaise social. Mais la France a des atouts, et il s'agit de les exploiter intelligemment : le "Fabriqué en France" a de l'avenir, pourvu qu'il y ait le soutien d’un État capable et ferme face aux féodalités économiques et financières, la Commission européenne... La matière grise, le pétrole vert, la puissance bleue, etc. : voilà les couleurs de la France qui travaille, qui invente, qui construit, qui produit ! Les Royalistes sociaux ont des propositions à faire pour garantir la justice sociale et en finir avec la démesure capitaliste...  

La 3^e voie en économie : solution ou illusion ?

Marc DESGORCES-ROUMILHAC, DESS sciences éco, Sciences Po Paris, ancien responsable DRH 

Certains économistes ou politiques proposent d’échapper à la dichotomie libéralisme-capitalisme versus collectivisme-socialisme. Est-il possible de retrouver un système économique qui évite les dérives mortifères pour la société de l’individualisme, tout en repoussant le totalitarisme du collectivisme ? Savoir si une troisième voie conciliant initiative individuelle et responsabilité sociale relève du mythe ou de l’espoir raisonnable. Au passage, nous devons prendre en considération le rôle de l’État, déterminant en la matière. 

TABLE RONDE:

Le néocorporatisme et la place de l’initiative individuelle dans l’économie

Renseignements:

provence@actionfrancaise.net